Tout finira bien
Lauréat de la biennale Chanson Française en 2014, Tout Finira Bien présente Au Cœur, un nouvel album poétiquement jazz. Sur des arrangements subtils et audacieux, les textes enchantent et déchantent les folies du monde. Une chanson nouvelle, à contre-courant.
Après un premier album (Mouton Mouillé) et ses collaborations avec l’artiste Grand Corps Malade, le quintet de chanson française Tout Finira Bien revient avec Au Cœur, une fresque impressionniste en 14 tableaux.
Gilles Bourgain, compositeur-ingénieur-poète- flûtiste décalé, nous donne avec tact des mots tantôt doux tantôt durs qui nous emmènent dans un univers singulier fait de contradictions : entre contemplation et engagement, quotidien et philosophie, joies et déchirures. Un homme complexe, au cœur du monde.
Les musiciens de haut vol qui l’accompagnent mettent toute leur finesse au service d’un répertoire très original. Musique de chambre, sons électroniques, orchestre symphonique, boite à musique… On voyage.
Durant le concert, Olivier Pé – qui a créé les dessins originaux du disque et du livret – réalisera une performance picturale
« Dans la veine de Vian, Queneau, Norge, Tout Finira Bien décoche au coup par coup des textes surprenants, caustiques, décalés. […] Un cocktail savoureux et jubilatoire. (…) Michel Ducobu (Vice-Président de Association des Ecrivains et Artistes de Wallonie)
« Un son puissant, raffiné. » Nina Gazon (Les Grignoux)
http://www.toutfinirabien.com/media
Gilles Bourgain : chant, flûte
Stephan Caracci : batterie, percussion
Jordi Grognard : clarinette, flûte, saxophone tenor
Yann Lecollaire : clarinette basse
Simon Tailleu : basse électrique, claviers, contrebasse
Olivier Pé : performance picturale
Sublimabim
Duo basse / saxophone
Fouilleurs d’abîme, grappilleurs de sublime.
«Nous sommes tous dans le caniveau mais certains regardent les étoiles.»
[Oscar Wilde]
Il s’agit de tenter d’exprimer la beauté / grandeur (le sublime) nichée dans les événements quotidiens, les sensations infimes que peut produire en eux le frémissement du vent dans les arbres lors du café matinal, par exemple. Ou encore l’émerveillement affolé que leur suscite une lumière rasante de fin de journée sur un mur décrépis.
Nous pourrions avancer l’hypothèse que SUBLIMABIM est le projet de deux tourmentés vieillissant qui, fatigués de se pencher sur l’horreur des choses, lui opposeraient une douceur et une beauté tout aussi extrême.
Volauvent : basse
Bertrand de Lamalle : saxophone
