Les filles qui rient veulent danser pieds nus et cœur léger.
Les filles qui rient apprivoisent le temps.
Elles tirent un éclat de joie dans les choses les plus banales du quotidien.
Elles contemplent les lueurs d’une civilisation qui s’effondre en gardant au chaud dans leur cœur un enthousiasme pour la vie, même lorsque la morosité et le désespoir essaient de s’emparer du monde.
Des couleurs, des traits, des gestes, des sensations pour tout bousculer.
Les filles qui rient sont Indociles.
Elles vous invitent à leur exposition riche en contrastes.
Val, Mathilde François et Zoé Bayenet.
→ L’exposition sera visible jusqu’au 28 mai, les soirs d’événements ou sur demande.